Première fois qu'on prend le bus tous seuls avec Edouard, c'est un peu chaud! On a pas retenu le numéro de la ligne alors on se fait aider. Et quand arrive le 409, qui passe par Lapa, c'est comme pour les autres il faut lui faire signe avec le bras et il s'arrête. Ici, on peut arrêter le bus n'importe où, pour monter comme pour descendre. Ce qui crée quelques situations assez périlleuses. Fréquemment les gens montent et descendent du bus au milieu de la rue et du trafic.
On se rend à la fondição progresso. Mon sac chargé de un kilo de riz et un kilo de haricots qu'on vient d'aller acheter. On descend du bus à Lapa et on marche quelques dizaines de mètres.
La fondição progresso.
On arrive devant ce bâtiment, qui est en fait une salle de spectacles. Sur la droite une petite billetterie qui se résume à un trou de la taille d'une brique dans le mur. On demande nos entrées pour le concert de demain. On passe par le trou le kilo de riz et le kilo de haricots... C'est bon on a le demi-tarif! Incroyable! On va voir manu chao, évidement ce n'est pas de la culture locale! Mais ce sera une première pour moi et qui plus est avec l'ambiance latino-américaine et dans ce lieu qui m'a l'air unique en son genre.
Sur notre chemin pour l'école on décide d'aller voir cet énorme bâtiment de l'intérieur. La Catedral de São Sebastião do Rio de Janeiro. Impressionnante: un bâtiment ouvert, en béton, ayant la même démesure que les édifices religieux de plusieurs siècles. Magnifique de l'intérieur, le silence, les vitraux immenses, la hauteur sous toit...
Ensuite on se rend à l'école, une étudiante de 5ème année nous fait faire le tour. C'est comme un petit pâté de maisons, les classes sont toutes des petits bâtiments individuels. Ça a l'air bien. Les ateliers sont assez vétustes et d'un niveau de sécurité discutable, mais les étudiants y ont accès facilement et arrivent à y faire un travail du bois assez intéressant pour ce que j'en ai vu. Nous avons ensuite rencontré Rodolfo, le directeur de l'établissement, très châleureux, nous avons un petit peu discuté et échangé nos contacts. Il a l'air très à l'écoute.
Dernière étape de la journée, on va à la Marina da Gloria. On passe la soirée avec des marins qui sont amis de Aurito. Les gens sont sympas, on rencontre un brésilien d'origine française qui parle cuisine et bâteaux dans un excellent français. Il vit sur son voilier. On reste la soirée dans cet endroit magnifique (désolé pas de photos) à progresser pas à pas en portugais. On rentre avec la voiture de Walter, un carioca "legal" (cool).
Sur notre chemin pour l'école on décide d'aller voir cet énorme bâtiment de l'intérieur. La Catedral de São Sebastião do Rio de Janeiro. Impressionnante: un bâtiment ouvert, en béton, ayant la même démesure que les édifices religieux de plusieurs siècles. Magnifique de l'intérieur, le silence, les vitraux immenses, la hauteur sous toit...
Ensuite on se rend à l'école, une étudiante de 5ème année nous fait faire le tour. C'est comme un petit pâté de maisons, les classes sont toutes des petits bâtiments individuels. Ça a l'air bien. Les ateliers sont assez vétustes et d'un niveau de sécurité discutable, mais les étudiants y ont accès facilement et arrivent à y faire un travail du bois assez intéressant pour ce que j'en ai vu. Nous avons ensuite rencontré Rodolfo, le directeur de l'établissement, très châleureux, nous avons un petit peu discuté et échangé nos contacts. Il a l'air très à l'écoute.
Dernière étape de la journée, on va à la Marina da Gloria. On passe la soirée avec des marins qui sont amis de Aurito. Les gens sont sympas, on rencontre un brésilien d'origine française qui parle cuisine et bâteaux dans un excellent français. Il vit sur son voilier. On reste la soirée dans cet endroit magnifique (désolé pas de photos) à progresser pas à pas en portugais. On rentre avec la voiture de Walter, un carioca "legal" (cool).
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